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« Le cri de la carotte » : fin d’un mythe

In Lydia - communication animale on 20/02/2012 at 14 h 47 min

Toute matière est spirituelle et consciente. Montagnes, rivières, nuages, vent, océan, minéraux, tout sur Terre est vivant. Les appareils ménagers, les moyens de transport, les bâtiments, etc. que les humains ont créés, ont aussi une conscience.En connaissant la vérité, allons-nous, nous les humains, réfléchir et penser sérieusement à la question de savoir si notre mode de vie, notre point de vue et nos valeurs dans la vie ont besoin d’être révisés et refondés à nouveau ?

Pousse verte de bambou biologique

En communiquant avec elles, on sent immédiatement qu’elles sont très joyeuses, heureuses, dévouées et heureuses d’être mangées

Lydia : Savez-vous qui vous êtes ?

Pousse verte : Ouais, je sais ! Les humains nous appellent « pousse de bambou » ; nous sommes ici en tant qu’aliment humain. Dès l’instant où nous sommes plantées, nous le savons déjà ; donc nous sommes heureuses et essayons de grandir aussi bien que possible, d’absorber la meilleure énergie et les meilleurs nutriments, et attendons avec impatience le jour où vous pourrez manger le meilleur de nous.

Lydia : N’avez-vous pas peur ?

Pousse verte : Pas du tout, nous sommes heureuses et contentes d’être mangées !

Lydia : Vous savez que si vous n’étiez pas récoltées, vous pourriez grandir pour devenir des bambous. Choisiriez-vous d’être des bambous ou d’être mangés ?

Pousse verte : Quand nous donnons aux humains l’énergie qui est en nous, nous le faisons volontiers, et nous sommes heureuses, nous sommes heureuses d’être leur nourriture et nous voulons être sacrifiées.

Lydia : Ça ne fait pas mal ?

Pousse verte : Non, aucune douleur ! Nous souhaitons que les gens qui nous récoltent, soient de bonne humeur pendant la récolte, alors nous serons heureuses !

(Lydia peut sentir que les pousses vertes de bambou qui ne sont pas récoltées ne sont, à l’inverse, pas de bonne humeur ; elles pensent que c’est un gâchis qu’elles ne soient pas récoltées et ne puissent pas être consommées par les humains.)

Lydia : Au cours de la plantation, comment souhaiteriez-vous que l’agriculteur prenne soin de vous ?

Pousse verte : Qu’il fasse de son mieux pour s’occuper de nous.

Lydia : Aimez-vous les pesticides chimiques et les engrais ?

Pousse Vert : Nous ne les aimons pas ! Ces produits détruisent notre énergie ; ils endommagent l’énergie dans notre corps, la font s’échapper et font que nous la perdons ; nous finissons par ne plus avoir d’énergie.

Lydia : Comment interagissez-vous avec votre environnement, comme le vent, les nuages, la pluie et le soleil ?

Pousse verte : Nous leur sommes très reconnaissants. Leur compagnie fait que nous nous sentons bien, et ils nous apportent toujours de l’énergie.

Lydia : Dans quel état d’esprit souhaitez-vous que les humains soient quand ils vous mangent ?

Pousse verte : Nous espérons qu’ils nous apprécieront, car il n’est pas facile d’accumuler de l’énergie.

Carotte biologique

En communiquant avec elles, on sent immédiatement que leur énergie est très forte, et elles sont très heureuses et ont une bonne humeur

Lydia : Savez-vous qui êtes-vous ?

Carotte : Nous savons que nous sommes destinées à l’alimentation humaine. Nous pouvons être entièrement mangées ; nos fanes sont également nutritives ; on peut nous manger totalement ! S’il vous plaît mangez tout notre corps ; lavez bien nos fanes ; nous manger crues est le meilleur ; nos fanes peuvent aussi être infusées.

Lydia : Pendant la récolte, vous êtes tirées totalement hors du sol, même les racines. Vous ne pouvez alors plus survivre, n’est-ce pas ?

Carotte : Nous le savons, et nous sommes prêtes à nous sacrifier ; donc nous essayons de grandir de notre mieux, afin d’accumuler autant d’énergie que possible pour la consommation humaine. Nous essayons de notre mieux de vous fournir un maximum d’énergie.

Lydia : Comment l’agriculteur prenait-il soin de vous toutes à la ferme ?

Carotte : L’agriculteur qui nous a plantés et a pris soin de nous est très attentionné. Lorsque l’agriculteur se sent bien, nous nous sentons également bien et de bonne humeur. A l’inverse, si l’agriculteur n’est pas de bonne humeur, nous pouvons le sentir aussi, et nous nous sentirons tristes pour lui aussi.

Lydia : Lors de la plantation, quel type de nutriments et d’état du sol demandez-vous ?

Carotte : Tout d’abord, il faut s’occuper du sol. Une bonne terre est nécessaire pour que nous puissions facilement absorber ses éléments nutritifs, parce qu’il y a beaucoup de nutriments naturels dans la terre ; c’est mieux que de mettre de l’engrais par la suite. Placez l’engrais du compost dans le sol et mélangez-les bien ensemble, puis laissez fermenter, et ensuite nous pourrons absorber les éléments nutritifs et les minéraux. Ce sera mieux que d’épandre de l’engrais après nous avoir plantées dans la terre.

Lydia : Aimez-vous les pesticides chimiques ou les engrais ?

Carotte : Non, nous nous sentons mal à l’aise avec eux, et ils sont également nocifs à la santé humaine.

Lydia : Alors, comment pouvons-nous éviter que la plante ne contracte des maladies, n’ait des insectes, des vers et d’autres problèmes ?

Carotte : Il n’y a aucun moyen pour éviter que le sol ait des vers, c’est quelque chose de très naturel. Si vous n’appliquez pas de produit chimique artificiel, le sol peut être équilibré. Il n’y aura alors pas autant d’insectes et de vers. Mais maintenant les humains appliquent trop de produit chimique artificiel et la terre a perdu son équilibre. Les vers et les insectes viennent parce que cet état de la terre les attire.

Lydia : C’est pourquoi l’environnement biologique est bénéfique pour équilibrer les sols, et ensuite réduire les problèmes de maladies, vers et insectes ?

Carotte : Oui.

Lydia : Lorsque vous poussez, comment interagissez-vous avec l’environnement naturel qui vous entoure ?

Carotte : Ils sont comme nos amis ; parfois, nous parlons et discutons avec le vent ; le soleil est notre meilleur ami, la pluie aussi ; chacun a sa propre tâche.

Lydia : Trop de précipitation fait que vous ne pousserez pas très bien, ou mourrez, alors comment faire ?

Carotte : Nous respectons la loi dela Nature ; nous ne nous plaindrons pas ou lui en voudrons si la pluie est trop forte ou si le vent est trop violent. Nous laissonsla Natureêtre comme elle veut ; nous ne nous plaindrons pas.

Lydia : Dans quel état d’esprit souhaitez-vous que les humains soient quand ils vous mangent ?

Carotte : Nous espérons qu’ils mangent avec gratitude, joie et bonheur, parce que nous sommes volontaires et dévouées pour être mangées. C’est pourquoi nous espérons que les humains peuvent être heureux quand ils mangent et aussi après.

PS :

Afin d’explorer et tester l’énergie de différents aliments, Lydia a trouvé un morceau de viande et a communiqué avec lui. Elle a ainsi pu voir si sa réponse était comparable à celle des plantes.

En communiquant avec ce morceau de viande, on ressent immédiatement la colère, plein de toxines, une énergie toxique, pas heureux, plein de haine !

En espérant qu’à travers ces tests, je pourrais aider chacun à déterminer et choisir les meilleurs aliments pour nous tous !

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